Grâce à l'originalité et à l'audace de notre cinéma national, en grande partie financé par notre grande télévision, nous assistons de temps à autre à la réhabilitation de nos talents décriés par la bien-pensance ou tombés dans un malheureux oubli. Merci à lui !
Addendum : sur le site du Figaro ce matin, je trouve, malheureusemeent réservé aux abonnés (que je ne suis pas encore), un entretien avec Michel "Bakounine" Sardou, intitulé : «Je suis un homme libre, un anarchiste»…
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