Frank Robert via abandonedography |
Puisque tu insistespour une dernière visitetu connaisma maladressetu sais comment me trouverje pense avoir toutvidé nettoyégaspillé enterrédémanteléil ne reste plus rientout est oublié
jusqu'à la véritéj'ai pris soinde trahir tout le mondemoi le premieril ne reste plus une ombrejuste un vaste chantiermais puisque tu insistesfais vitemon permis de démolitionest votéles travauxsur le point d'être lancéstu peux consulter le dossieril n'y aura nul bénéficiaire.
Charles Brun, Poésie urbaine
Vraiment excellent, et la photo.
RépondreSupprimerCharles Brun reste un mystère, tant mieux.
Ce Charles Brun reste un mystère pour moi aussi... De temps à autre, il m'envoie de ses textes inédits que je m'empresse de publier ici...
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