Des films de la Nouvelle vague, découverts pour la plupart dans les années 1980, lors de mes études dans le Quartier latin et de ses très nombreuses alors salles de cinéma, j'ai longtemps gardé la musique, Delerue, Legrand, Duhamel, Constantin… Je ne sais si ce cinéma, finalement assez petit-bourgeois et très divers, a beaucoup apporté, s'il en reste autre chose que des noms et une mythologie. J'ai du mal à revoir ses films. Avec son quartet, Stéphane Kerecki revisite quelques thèmes de l'époque. C'est un disque curieux et revigorant offrant une nouvelle perspective à cette histoire, à un certain lysrisme qu'un type boursouflé comme Desplechin, soutenu par une grande partie de la critique biberonnée au culte de la NV, essaie désespérement aujourd'hui de retrouver, en vain.
lundi 22 juin 2015
Camille et les autres
Des films de la Nouvelle vague, découverts pour la plupart dans les années 1980, lors de mes études dans le Quartier latin et de ses très nombreuses alors salles de cinéma, j'ai longtemps gardé la musique, Delerue, Legrand, Duhamel, Constantin… Je ne sais si ce cinéma, finalement assez petit-bourgeois et très divers, a beaucoup apporté, s'il en reste autre chose que des noms et une mythologie. J'ai du mal à revoir ses films. Avec son quartet, Stéphane Kerecki revisite quelques thèmes de l'époque. C'est un disque curieux et revigorant offrant une nouvelle perspective à cette histoire, à un certain lysrisme qu'un type boursouflé comme Desplechin, soutenu par une grande partie de la critique biberonnée au culte de la NV, essaie désespérement aujourd'hui de retrouver, en vain.
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