En 1971, le jeune Peter Bogdanovich, influencé, comme tout le Nouvel Hollywood, par la Politique des auteurs inventée
dans les années 1950 par la future Nouvelle vague, rencontre l'un de
ses maîtres, John Ford. L'Irlandais se prête au jeu, à sa manière, selon
ses règles.
On peut tout de même admirer l'ensemble de ses films jusqu'au 23 février, à la Cinémathèque française. Gageons que ce genre de scène réchauffera le coeur des spectateurs perdus dans cet antre affreusement déshumanisé de la rue de Bercy.
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