- Ils l'avaient plus.
- Moi, j'en avais commandé deux. Je les avais même payés !
- Il en avait demandé 60 mais n'en a reçu que 40.
- Il m'a dit de repasser demain.
- Moi, j'ai acheté Le canard enchaîné à la place. Ils ont reçu des menaces, eux aussi.
- Il l'avait noté, que t'avais payé ?
- Non, mais il m'a proposé de me rembourser.
- Tu l'as trouvé, toi ?
- Je ne l'ai pas cherché.
- Ah ouais... Moi, j'ai été chargé d'en acheter un pour une copine au Canada, et de le lui envoyer. Je suis passé ce matin, la boutique n'était pas encore ouverte et il y avait une de ces queues devant, incroyable, jamais vu ça.
- Tu l'achetais, avant ?
- Non, j'avoue, jamais.
Ensuite, ils s'en sont pris à la nouvelle femme de ménage. Ils ont exigé que l'aspirateur soit passé avant notre arrivée au bureau. Une fois qu'on est là, c'est vraiment pas possible !
J'ai filé à mon poste, ai allumé l'ordi, posé les écouteurs sur le crâne, ne plus les entendre!
Je sais qu'ils ne m'aiment pas. Pour ça.
C'est bien de ne pas être aimé par des cons.
Veux tu être aimé, mieux encore adulé, célébré, défendu, très entouré et connaitre enfin le moment de gloire que tu pensais meriter ? Veux tu être aimé à mort ? Alors....meurs ! Mort violente conseillée. (Mais attention : on ne peut garantir la valeur humaine de vos futurs et nombreux admirateurs et laudateurs)
RépondreSupprimerFaites gaffe, Pierre, je vais finir par vous aimer !
RépondreSupprimerAvant Charlie hebdo, dans 'le monde d'avant', il y avait Pierre Desproges. Et une de ses minutes que je me dois de partager. (Non, ne me remerciez pas. )Titre : Desproges et le cochon narquois. 1min09.
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=QTUeCEtkEYY
Un maître !
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