Gaston Paris, via camara democratica
Pour Alberto MoyanoCes matinées du dimancheen hiverà la première heure :les rues qu'on vient d'arroser,l'air frais,propre,l'odeur des croissants des cafétérias,la foliedes oiseaux...Comme si la viete disait :regarde, je suis là,essaie de nouveau.Karmelo C. Iribarren, La Ciudad, Antología poética 1985-2014traduction maison (close)
Un dimanche matin très tôt avant de quitter Saragosse, je me souviens avoir trempé des churros dans un café au lait sur un trottoir fraichement arrosé. C'est le souvenir le plus intense (j'oubliais le musée Goya) que j'ai gardé de la ville. C'était une ambiance comme celle du poème, une belle consolation.
RépondreSupprimerMerci pour la traduction
J'aime beaucoup cette aube fraîche, d'espérance et pourtant déjà désabusée, poésie un peu Camus/Sisyphe.
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