jeudi 29 juin 2017

Entourloupes



Auréolé d’une élection remportée avec trois millions de suffrages de moins que sa concurrente, le président Donald Trump a choisi l’Arabie saoudite pour y dénoncer l’absence de démocratie… en Iran. Puis, à Miami, devant des rescapés d’une équipée militaire ratée montée en avril 1961 par la Central Intelligence Agency (CIA) contre le gouvernement de Fidel Castro, il a prétexté la « liberté du peuple cubain » pour durcir les sanctions américaines contre la population de l’île.
En matière de célébration équivoque de la démocratie, le cycle électoral français qui vient de s’achever n’est pas aussi burlesque que ces deux exemples. Toutefois il s’en rapproche…
La suite, c'est l'édito de juillet de l'ami Halimi et c'est à lire ici.

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