Contre la mièvrerie des produits littéraires contemporains
A lire impérativement, cet éloge d'Emmanuel Bove, écrivain que je chéris tant, à l'occasion de la belle parution de Mes amis (1924), à L'Arbre vengeur.
Bonne nouvelle que cette publication. Je me souviens être venu à Bove par le biais de l'excellent Raymond Cousse qui, dans le genre écorché tonitruant, se place pour moi dans l'élite. Il me semble que l'auteur de Stratégie pour deux jambons et du fabuleux A bas la critique (je me marre encore en repensant aux missives qu'il envoya au consternant Pivot) a écrit une biographie de Bove ; et, me semble-t-il encore, à quatre mains.
Cher Raymond Cousse... que j'ai connu par Bove... Il est bien le co-auteur, avec l'indispensable Jean-Luc Bitton, d'une biographie de Bove, que j'espère toujours disponible, au Castor Astral dans mon souvenir... Bonne journée, cher Promeneur
Bonne nouvelle que cette publication.
RépondreSupprimerJe me souviens être venu à Bove par le biais de l'excellent Raymond Cousse qui, dans le genre écorché tonitruant, se place pour moi dans l'élite. Il me semble que l'auteur de Stratégie pour deux jambons et du fabuleux A bas la critique (je me marre encore en repensant aux missives qu'il envoya au consternant Pivot) a écrit une biographie de Bove ; et, me semble-t-il encore, à quatre mains.
Cher Raymond Cousse... que j'ai connu par Bove... Il est bien le co-auteur, avec l'indispensable Jean-Luc Bitton, d'une biographie de Bove, que j'espère toujours disponible, au Castor Astral dans mon souvenir... Bonne journée, cher Promeneur
SupprimerBien entendu.
RépondreSupprimerL'un ne va pas sans l'autre...
SupprimerMerci à vous pour "La main de singe", déjà entendue à propos de Bukowski.
RépondreSupprimerJe vous en prie, merci à lui (Watt-Owen)
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