samedi 12 septembre 2015

…c'est même à ça qu'on les reconnaît.


L'opposition à l'ordre ultralibéral d'une grande partie des éditorialistes et de leurs hommes de plume ne connaît pas le repos. Ainsi, Le Monde, très injustement nommé "quotidien des marchés" par l'ultragauche, nous offre régulièrement un modèle de discours, désormais bien en place, sur l'état de notre société et la vie des idées. Malgré l'effet 11 janvier, le dessin de presse est dit-on en crise. Fort heureusement, le quotidien fondé par Beuve-Méry et sauvé par ces bienfaiteurs de l'humanité que sont Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse, compte encore dans ses rangs le trublion Jean Plantureux, plus connu sous le sobriquet de Plantu, qui, cette semaine, nous gratifia d'un de ces dessins réjouissants dont il a le secret, esprit bien fait réunissant d'un seul trait crise des migrants et archaïque résistance française à la réforme du code du travail, pourtant déjà bien avancée grâce à notre courageux et socialiste ministre de l'économie. On en redemande !



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