Cet urinoir a été installé sur le campus de l'université de Bristol, dans le sud-ouest de l'Angleterre. Ressemblant comme deux gouttes de pisse aux sanitaires des camps de réfugiés, ce prototype en est encore au stade de test - certes, grandeur nature.
En effet, des chercheurs de cette fac estiment que l'urine (celle des hommes plus particulièrement) peut générer de l'énergie et, si cela se vérifie, pourrait être un excellent moyen de fournir de l'électricité dans les camps de réfugiés du monde entier.
La sanisette a été édifiée à côté de la cafétéria d'une association étudiante pour faciliter l'expérience. L'article du Guardian, cité par Le Monde diplomatique de ce mois, ne dit pas si, dans le cas d'un essai concluant, ces brillants chercheurs envisagent d'installer des débits de boisson dans les camps, l'eau, comme on le sait, étant souvent une ressource rare dans l'environnement de ces habitations...
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