Hier soir, un spam de Gallimard m'indique les parutions incontournables de cette nouvelle rentrée littéraire. Je survole le message, note les accroches publicitaires des uns et des autres…
Alliant prose envoûtante et suspense implacable, Éden interroge la part occulte et sauvage de l’homme, et son innocence perdue.
Un roman sur la force de la vie et de l’amour, qui peut se nicher là où on l’attend le moins, au coeur de la guerre.
Face aux traumatismes de l’enfance, les liens indéfectibles d’une famille.
En s’emparant de l’histoire contemporaine dans une fiction au souffle spectaculaire, Aurélien Bellanger fait de l’Europe un conte de fées.
Après un immense chagrin d’amour, une traversée du désert en quête de soi.
Les mystères de la rencontre.
Retour sur l’itinéraire personnel et intellectuel de l’auteur, les lectures, les événements, les rencontres qui l’ont formé.
Le sexe et la tentation du saccage, le sexe et son impulsion sauvage sont au cœur de ce roman puissant dans lequel Karine Tuil interroge le monde contemporain, démonte la mécanique impitoyable de la machine judiciaire et nous confronte à nos propres peurs.
…rapidement, je ne sais plus où donner de la tête, m'y perds, mélange titres et signatures – Les Choses humaines, A la première personne, Une histoire de France, Le Ciel par-dessus le toit, Le Continent de la douceur, Eden, Rose désert… – je suis pris de nausées et file sous la couette…
J'ouvre alors le journal, trouvé sur une banquette de métro, et à la rubrique culture (asphyxiante) tombe sur la manchette d'un entretien avec Desplechin pour son dernier opus (j'espère), Roubaix, une lumière :
J'ouvre alors le journal, trouvé sur une banquette de métro, et à la rubrique culture (asphyxiante) tombe sur la manchette d'un entretien avec Desplechin pour son dernier opus (j'espère), Roubaix, une lumière :
Raté, Arnaud, tu fais la une à chaque machin que tu nous ponds… Le chapô de l'article consacré au néo-polar de ce maître révolutionnaire et romantique du cinéma d'auteur français et international finit de m'achever :Chaque fois que je fais un film, je rêve que vous n'allez pas me reconnaître…
J'ai encore mal dormi.Un drame qui sonde puissamment la psyché humaine.
Ouarf ouarf ouarf !
RépondreSupprimerCessez de vous faire de la bile, la légion des cons et des salauds est envahissante, concentrez-vous sur vos proches : Cioran, Perros, Kafka, Bukowski et les autres...
Et merci, ça console !
Vale
Un autre perdant-perdu.
Blaireau 58
Ah oui l'accumulation des pitches de roman c'est comme un cadavre exquis
RépondreSupprimerOui, eh bien qu'ils crèvent tous !
SupprimerSi je puis me permettre :
RépondreSupprimerhttps://m.youtube.com/watch?v=yZEWiq51QjY
Salut et respect.