Quand le soleil s’est éteint, y a pas à dire,c’était pas si mal.On s’rinçait l’avaloir,on traînait, on bavassait,les feuilles craquaient, les tilleuls brouillardaient,des haillons, des osroussissaient en tas.On dévidait nos connerieset ça sentait la fin d’l’été.On s’était gouré. C’était la fin du monde.
Ivan Wernisch
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