Dernière lutte d'une heure
la main posée sur ta fesse
droite
les emmèredes éparpillées sur l'oreiller
levé aux horreurs j'avale
quelques vers analeptiques
léchant le mur dénudé
d'appas
d'élégance
en souffrance
plâtre sur ciment
ciment sur plâtre
miel au fond de la tasse je déguste
la menthe poivrée le froid
du matin et de toutes les nuits
chatte sur l'épaule
goûte aux pesticides
à la tête du génocide
des abeilles et de l'orthographe
l'air court sous la fenêtre
d'où j'aime la regarder passer
je dormirai un autre jour.
Par où commencer...
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