Je ne me sens nullement représentatif de quoi que ce soit. Et encore moins de ma façon d'être.
A toutes ces personnes qui disent se sentir mal dans leur peau, je conseille toujours de consulter un dermato.
Mon type de femme : celle qui ne me rend pas sentimental.
Je sens que je vais y réfléchir à deux fois avant de proclamer mon indépendance.
Les pauses que je m'impose me permettent de ne pas réfléchir aux raisons qui me poussent à ne pas écrire davantage.
Le jour où j'oublierai de ne plus me prendre au sérieux, vous entendrez sérieusement parler de moi.
Passez-moi l'expression. N'importe laquelle.
Je la revois lors de notre premier rendez-vous, m'attendant, encore pleine d'espoirs.
Mon type de femme : celle qui, honteuse, me demande Comment sais-tu que ça me rend folle ?
Ecoutez, on ne va pas se mentir. Je vous propose d'ailleurs que nous cessions tout dialogue.
Je n'ai jamais mis de l'argent de côté, je l'admets. Mais je ne parviens pas à comprendre si cela est dû à un manque constant de moyens ou à une pathologie grave.
Ne comptez pas sur moi. Et pas à moins de dix mètres.
Dernièrement, les romans m'ennuient. Après quelques pages, je me
déçois en lâchant un Ben, voyons... ou un Ça tombe bien, non ?... ou
encore un Il me prend pour qui ?... S'ensuit la présentation à l'auteur
d'un bouquet d'injures de derrière les fagots. Le romancier aura beau argumenter, la réconciliation sera, je le sais, impossible.
Mon type de femme : celle qui, au lit, m'épargne les onomatopées pornographiques de circonstance quitte à s'en faire saigner les lèvres.
Je sais malheureusement que je n'aurai pas assez d'une vie pour étaler toutes les conneries dont je suis capable.
J'en ai bien moyennement peur. A vrai dire, je m'en contrefous...
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