essoufflé
j’avais à trop me moquerde moi le premierces derniers temps perdule temps l'espérancela vue toute éléganceéloigné le désir l’amourl’insouciante impuretéla couleur de ses yeuxégaré l'obscuritéla jeunesse révoltéetoute sincérité
ma légendaire vulgaritél’amitié la nuitle goût du vin et des femmescave et bourses encore pleinessurveillé le silence
laissant la place à son absencetout sacagé en résumémais ce matin
au coucher abrutij'ai retrouvémain dans la maindans le litun long rire noir etson ami l’oubli
Charles Brun, Poésie urbaine
mardi 3 juillet 2018
Essoufflé
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