Mes projets
Ecrire un livre sur la fin du monde était un projet qui datait de plusieurs années. J'avais déjà écrit une pièce de théâtre sur le même sujet. Elle s'intitulait Hier et après-demain. Mais c'est une obsession, dit ma femme quand j'évoquai l'idée de remettre ça.Je ne crois pas. Mais je peux me tromper. Selon les psychologues, l'idée de la fin du monde permet d'accepter sa propre disparition. D'ailleurs, sans aller jusqu'à la fin du monde, la mort des autres est déjà apaisante, disent-ils : pouvoir se dire sur son lit de mort De toute manière ils vont tous y passer ces connards rendrait l'âme plus sereine.A condition de ne pas croire en l'au-delà. Imaginez ! Imaginez ! Les retrouver tous !
Patrik Ourednik, La Fin du monde n'aurait pas eu lieu,
éd. Allia, 2017, 10€
dimanche 22 janvier 2017
Imaginez…
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Savoureux Ourednik.
RépondreSupprimerLa petite animation qui l'accompagne, c'est du Spike Jones ?
Jules
No sé… J'ai trouvé ça sur la toile, sans aucune indication, précision, légende, copyraillete… Que t'chi !
Supprimer