Bert Hardy |
Tiens, c'est une girafe et j'ai cru si longtemps que c'était un pommier. Alors, ces pommes que j'aimais tant ? — C'était de la crotte, Aristide. — De la crotte ! Alors, j'aimais de la crotte ? — Mais oui, Aristide, on peut se tromper et le principal c'est d'aimer.
Norge, On peut se tromper in Poésies 1923-1988, Gallimard
On ne fait sûrement que ça, se tromper, s'illusionner.
RépondreSupprimerUn abrazo
Parle pour toi cher Luc. De mon côté, jamais d'erreur, toujours raison, lucidité extrême… et amour toujours, bien entendu. Abrazo.
SupprimerPar contre, je ne me tromperai certainement pas en me procurant BÂILLER DEVANT DIEU. Je vois sur Instagram qu'il est, ce jour, en librairie.
RépondreSupprimerDéjà ? Je pensais que c'était demain. Alors, oui, précipite-toi vite et rapidement sans plus attendre ! Abrazote
Supprimer