La blancheur humide de ton corps céleste m’envahit avec une rigueur désinvolte que le vent soulage. À travers le lierre qui te ronge, ô blancheur des blancheurs, tu étales généreusement ta lèpre innocente. Tu exultes, quand tu respires à travers les bras ensorcelés du sommeil qui te nourrit et t’affame.
Paul Valet
L'année, que je souhaite à tous les égarés visitant parfois ce blogue, excellente dans la mesure de l'impossible, ne pouvait mieux commencer avec l'annonce de la parution imminente de Que pourrais-je vous donner de plus grand que mon gouffre ? aux éditions du Dilettante, composé d'un texte inédit, intulé Translucide, et de poèmes publiés en revue. Mais aussi, la réédition chez Gallimard, en février, de La parole qui me porte et autres poèmes. Enfin !
Merci Carlos pour ce petit peu de beauté de Paul Valet. La beauté, une chose qui ne se mesure ni en mètre ni en kilo. Un peu, c'est déjà énorme et inespéré. Meilleure année à toi, je sais que tu le prendras avec humour. Se souhaiter le bonheur, une drôlerie sincère !
RépondreSupprimerUn abrazo.
LUC
Merci amigo Luc. Très bonne année pleine de lumière et de couleurs, pas trop froides, ni trop fortes, à toi et aux tiens. Valet est au service de la langue, son serviteur, à lire et relire. Un abrazote
SupprimerMerci pour cette annonce
RépondreSupprimerUn égaré (ou un perplexe selon Maïmonide...)
Tout le monde s'en fout
RépondreSupprimerTout le monde s'en contrefout
Tu savais pas ?
Tu l'avais oublié ?
Deux-mille-vingt : Année Chinaski
Happy New²
Une belle année (nous sommes le 25 janvier, j'ai encore le droit de la souhaiter) !
RépondreSupprimerAlors, si on en a encore le droit, j'en fais de même !
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