L’isolement est épouvantable. L’écrivain est un fou qui a droit à sa folie : il peut tourner et retourner ses obsessions en dehors du monde normal, dix heures par jour. A la longue, on finit par ne plus supporter le son de sa propre voix, la répétition. Surtout, l’écrivain n’a pas d’autre cause que lui-même. Je me demande à quoi sert tout ça…
Depuis hier, et pour une semaine, on peut (re)voir sur le site d'Arte l'entretien réalisé en 2010 par William Karel et Livia Manera, Philip Roth, sans complexe – en tous cas, une partie car il y aurait une centaine d'heures de rushes, à quand l'intégrale ?
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