lundi 19 octobre 2015

Scut toujours !

Content d'un rien, mécontent de tout.
 
Cieux et enfers ! Faites que ma pauvre cervelle cesse enfin de labourer à vide et de me torturer.

Il n'est pas d'oraison valable.  

N'entrez point par la grande porte et ne courbez l'échine pour entrer par la petite. N'entrez pas.

Les plaisantins font des farces pour voiler leur détresse. Vous le savez bien, on ne l'a que trop dit, et que les tristes sont des optimistes masqués.

2 commentaires:

  1. Ah merdre ! Vous avez une sacrée chance de possèder cette sublime rareté !
    Moi je vais devoir assassiner le fumier qui ne me l'a jamais rendu depuis des années?
    Qui se dévouera pour enfin publier des Œuvres complètes du grand Scutenaire ?
    L.W.-O.

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  2. Sauvé des différents ouragans (déménagements, ruptures amoureuses et de stock, dégâts des eaux, vols...), je me souviens qu'il m'avait été offert par un ami, peu après sa publication au Dilettante. Je découvrais ainsi le Scut. Et lisais quelques années plus tard, dans la bibliothèque de la future mère de mes enfants, deux des volumes de Mes inscriptions, dans leur édition originale, je crois bien... Je viens de vérifier : Allia annonce une réimpression de Mes inscriptions 1945-1963... Rien n'est perdu, cher LWO. Bien à vous

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